Voici quelques ZAP maintenant en fonction au Bas-Saint-Laurent : la SADC de la région de Matane, Informidata à Matane et Électro-Informatique à Causapscal.
Vous voulez offrir une ZAP à votre clientèle, faites-en la demande à info@zapbsl.org
Vous êtes utilisateur intéressé, inscrivez-vous pour ouvrir un compte chez Z.A.P. Bas-Saint-Laurent, c’est gratuit.
Pour identifier toutes nos bornes d’accès Wifi, consultez régulièrement la carte des points d’accès par MRC.
Voici quelques-unes des ZAP officiellement en fonction au Bas-Saint-Laurent : la SADC des Basques à Trois-Pistoles, le Centre d’accès communautaire à Internet (CACI) de Trois-Pistoles et, très bientôt, le bureau d’information touristique de la MRC des Basques à Trois-Pistoles.
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Dans le contexte d’une vaste consultation nationale sur la mise en place de la Stratégie sur l’économie numérique du Canada, le gouvernement canadien souhaite recevoir de la population des points de vue, des avis, des suggestions, des idées ou des idées afin d’orienter et d’alimenter les réflexions. La consultation se poursuit pendant encore 45 jours et aborde divers thèmes comme l’innovation, les infrastructures, la croissance de l’industrie des TIC, les médias et les contenus numérique, l’acquisition des compétences (main d’oeuvre, éducation) et autres. Les personnes intéressées à participer pour faire valoir, entre autres, la position des régions rurales ou les besoins en ressources pour les communautés sans-fil, peuvent obtenir tous les renseignements nécessaires à leur participation en consultant le lien http://de-en.gc.ca/fr/accueil.
Un peu plus d’une semaine après son lancement, Z.A.P. Bas-Saint-Laurent compte déjà une trentaine de demandes d’installation complétées, confirmées ou en cours de traitement dans les huit MRC du Bas-Saint-Laurent. On peut ainsi parler d’un démarrage en force puisque l’organisme s’était fixé comme objectif initial de mettre en place près de 70 zones d’accès public (ZAP) à Internet sans-fil gratuit d’ici le 30 juin 2010. On en trouve présentement deux dans la MRC de Matane, deux dans la MRC de la Matapédia, neuf dans la MRC de la Neigette, quatre dans la MRC de Rivière-du-Loup, trois dans la MRC de La Mitis, trois dans la MRC des Basques, deux dans la MRC du Kamouraska et quatre dans la MRC de Témiscouata. Ces ZAP sont établies dans des organisations municipales, institutionnelles et commerciales.
L’accès gratuit à Internet sans-fil devient un avantage concurrentiel pour tous les lieux publics (entreprises, institutions et organismes) qui le proposent. C’est un facteur d’accroissement de la fréquentation et de la fidélisation des clientèles. Par exemple, depuis janvier dernier, les zones pilotes initiales, principalement établies à Rimouski, ont attiré plus de 600 nouveaux utilisateurs, dont 411 toujours actifs. Pour Michel Fortin, directeur des opérations chez Z.A.P. Bas-Saint-Laurent, le modèle développé dans les centres urbains est concluant et nos tests démontrent que l’idée peut faire du chemin ici aussi. Pourquoi la région n’appliquerait-elle pas à l’échelle de huit MRC ce qui existe dans des agglomérations comme Montréal, Québec ou Sherbrooke? À la limite, tout le Bas-saint-Laurent devient une grosse ville. Nous sommes les premiers à le faire pour toute une région et nous sommes convaincus de l’impact de cette démarche. Notre philosophie et notre modèle de développement sont considérés comme des exemples par d’autres régions comme le Saguenay et le Lac-Saint-Jean, l’Estrie et le Centre du Québec. Z.A.P. Bas-Saint-Laurent est un projet à but non lucratif issu d’une vision nouvelle de la connectivité des communautés régionales. D’ici trois ans, Z.A.P. Bas-Saint-Laurent compte être présente dans les 115 municipalités locales de la région, rurales et urbaines, avec un minimum de 300 zones d’accès public sans-fil gratuit à Internet.
Pour le président de la Conférence régionale des éluEs du Bas-Saint-Laurent, M. Michel Lagacé, Z.A.P. Bas-Saint-Laurent positionnera avantageusement la région auprès des clientèles mobiles, des professionnels, des gens d’affaires, des étudiants et de la clientèle touristique qui trouveront une raison de plus pour s’arrêter et investir ici. Le Bas-Saint-Laurent fait office de précurseur en déployant graduellement l’accès gratuit à Internet sans-fil à l’échelle de la région, ce que l’on ne trouve ailleurs que dans les grands centres urbains. Ce service bénéficiera aussi à la population régionale, de plus en plus tournée vers les technologies sans-fil.
Selon le président de la Commission jeunesse du Bas-Saint-Laurent, M. Bruno Paradis, les retombées de ce projet auront une incidence directe sur l’attraction et la rétention des jeunes, qui se tournent volontiers vers le sans-fil et la liberté de mouvement qu’il offre en termes de communication. Les habitudes de mobilité de la génération « C », celle des jeunes de 14-24, sont des indicateurs que les modèles traditionnels de communication ne répondent plus suffisamment à leurs besoins. La Commission jeunesse croit que le projet pourra même avoir un effet positif sur le recrutement des clientèles des maisons d’enseignement et sur l’établissement des jeunes au Bas-Saint-Laurent.
Quoi qu’en disent ceux qui tentent de profiter de la vague médiatique créée par Z.A.P. Bas-Saint-Laurent, le concept mis en place ici est unique pour l’ensemble d’une région. Ailleurs, les ZAP ne desservent que des agglomérations; ici, l’accès à Internet sans-fil gratuit en est encore à ses premiers balbutiements avec nombre de contraintes de mots de passe et de clés d’accès. Ce n’est pas le principe que nous défendons. Nous voulons démocratiser, sans concurrencer qui que ce soit (fournisseurs d’accès ou entreprises privées vendant des routeurs sans-fil), le libre accès à Internet sans-fil en éliminant les contraintes de paiement liées aux droits d’utilisation et la nécessité de disposer de clés d’accès ou de mots de passe déterminés par les établissements qui offrent un service dit gratuit, mais avec des obstacles technologiques souvent liés aux fournisseurs d’accès. Il n’existe qu’un seul concept ZAP; ceux qui profitent de l’occasion pour offrir leurs services à caractère commercial en reproduisant ce vocable sont des usurpateurs d’identité corporative et de concept axé sur la mobilité et la connectivité sécuritaires à la fois pour les établissements ZAP et les utilisateurs du service. Découvrez tout Z.A.P. Bas-Saint-Laurent dans ce site et pour en savoir plus, une seule source d’information : info@zapbsl.org.
Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent soutiennent le déploiement de Z.A.P. Bas-Saint-Laurent à titre de partenaires majeures. Elles y ont investi 40 000 $ pour en soutenir le démarrage. Les directions générales des SADC du Bas-Saint-Laurent soulignent que l’avènement des ZAP dans chaque MRC sera un facteur de rétention et de vitalisation pour les communautés. Les nouveaux développements en technologie et en communication sont axés sur le sans-fil, l’accessibilité constante à Internet et l’instantanéité des interrelations personnelles et professionnelles. Ce projet servira les collectivités et les clientèles de passage dans les lieux publics. Les SADC y voient une façon de distinguer et de promouvoir le Bas-Saint-Laurent en termes de rayonnement, de développement et d’investissements potentiels, puisque personne n’a encore osé y faire la promotion de l’accès sans-fil gratuit à Internet de la manière envisagée par Z.A.P. Bas-Saint-Laurent. Cela représente un élément attractif non négligeable pour de nouvelles entreprises et certaines catégories de main-d’oeuvre dont les entreprises d’ici ont besoin. De plus, ce projet s’inscrit dans la continuité des actions entreprises par les SADC depuis près de trois ans, notamment pour favoriser l’accès à Internet à large bande dans les communautés rurales.
