L’accès gratuit à Internet sans-fil devient un avantage concurrentiel pour tous les lieux publics (entreprises, institutions et organismes) qui le proposent. C’est un facteur d’accroissement de la fréquentation et de la fidélisation des clientèles. Par exemple, depuis janvier dernier, les zones pilotes initiales, principalement établies à Rimouski, ont attiré plus de 600 nouveaux utilisateurs, dont 411 toujours actifs. Pour Michel Fortin, directeur des opérations chez Z.A.P. Bas-Saint-Laurent, le modèle développé dans les centres urbains est concluant et nos tests démontrent que l’idée peut faire du chemin ici aussi. Pourquoi la région n’appliquerait-elle pas à l’échelle de huit MRC ce qui existe dans des agglomérations comme Montréal, Québec ou Sherbrooke? À la limite, tout le Bas-saint-Laurent devient une grosse ville. Nous sommes les premiers à le faire pour toute une région et nous sommes convaincus de l’impact de cette démarche. Notre philosophie et notre modèle de développement sont considérés comme des exemples par d’autres régions comme le Saguenay et le Lac-Saint-Jean, l’Estrie et le Centre du Québec. Z.A.P. Bas-Saint-Laurent est un projet à but non lucratif issu d’une vision nouvelle de la connectivité des communautés régionales. D’ici trois ans, Z.A.P. Bas-Saint-Laurent compte être présente dans les 115 municipalités locales de la région, rurales et urbaines, avec un minimum de 300 zones d’accès public sans-fil gratuit à Internet.
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